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Un ami particulier
Un ami particulier Lundi 6 juillet 8h, mon réveil sonne, j'ouvre mes yeux et prends une grande inspiration. J'éteins ce maudit réveil et me dirige vers la cuisine afin de prendre mon petit déjeuner. La journée est particulièrement banale pour un début du mois de juillet, un grand soleil d'été, une petite brise matinale et déjà 25°C à l'ombre. Cette après-midi je dois me rendre chez mon meilleur ami Hugo car j'ai raté mon bac et je suis admis aux rattrapages. Je sais que seul Hugo peut m'aider pour mes révisions, c'est un élève très sérieux et je sais qu'il ferai tout pour m'aider, c'est un véritable ami. Je prends mon petit déjeuner composé de fruits, de flocons d'avoines et d'autres aliments très sains, ma mère étant nutritionniste nous mangeons toujours équilibré chez nous. Une fois mon petit déjeuner pris je me dirige vers la salle de bain, comme à mon habitude chaque matin je regarde mon corps devant le miroir, étant un grand fan de musculation je pratique ce sport depuis maintenant deux ans, mon corps devient chaque jour plus tonique, plus musclé, j'aime cette sensation de devenir plus fort de jour en jour ! Je me coiffe, me brosse les dents et j'effectue ma pesée matinale: 82.3kg sec pour 1m82, je suis plutôt fier de ce que j'ai bâti ! J’étais un garçon de 18 ans, plutôt beau gosse, toujours habillé de façon à faire craquer les filles et à mettre en valeur mon corps, j’avais des cheveux bruns foncé, des yeux marrons et la peau toujours bronzé du fait que je passe mon temps toujours à l’extérieur. J’enfile ma casquette et mes chaussures pour me rendre dans la salle de sport du coin avec des potes, pendant les vacances d'été nous nous y rendons chaque jour dès l'ouverture à 9h afin d'avoir tous les équipements à notre disposition, le gérant nous connaît très bien maintenant et a une confiance absolu en nous. Mes potes sont déjà devant la salle, il est 8h55 et nous sommes déjà en tenue prêt à tout donner dans cette séance. Il est maintenant 11h, nous venons de terminer notre séance, nous nous rendons dans les vestiaires afin de nous changer. Nos muscles sont gonflés, saillants, mes bras me font souffrir mais cela en vaut la peine vu la circonférence de mes biceps, mon ventre brûle après les séries d'exercices abdominaux, mes pectoraux sont engourdies et gonflés comme jamais. Je rentre chez moi, il est maintenant 12h et il est temps de manger. Blanc de poulet, pâtes, courgettes, salades de crudités sont au menu aujourd'hui, je meurs de faim et il est essentiel que je mange en grande quantité afin de développer ma masse musculaire. 14h je me rends enfin chez Hugo, ses parents m'ouvrent la porte et me disent que Hugo est dans sa chambre, même si je le savais déjà car lorsqu'il n'est pas en cours il est dans sa chambre ! Hugo est quelqu'un de très réservé, timide, il n'a pas beaucoup de copains au lycée, il ne parle à personne sauf à moi et encore les conversations que nous avons ne sont pas très enrichissantes. Nous parlons la plupart du temps de jeux vidéos, des devoirs que nous devons rendre, des contrôles que nous devons révisés mais jamais de fêtes, de délires entre potes ou d'amour. Je monte les escaliers menant à sa chambre, je pousse la porte et je vois Hugo sur sa chaise de bureau en train de jouer sur son portable. Sa chambre était une vrai grotte de geek: ordinateurs, télévision, consoles mais aussi on voyait des cartons de pizzas, des paquets de chips, des emballages de gâteaux en tout genre. Hugo passait ses journées à manger et cela se voyait avec son physique, à seulement 17 ans il pesait déjà 186kg pour 1m70, ses parents lui autorisent à manger ce qu'il veut et ne fait aucun sport, il a en quelque sorte la belle vie même si je suis heureux avec mon mode de vie. Il avait les cheveux blondinets, des grosses joues proéminentes, une petite bouche toujours souriante rouge très pal et des yeux d’un bleu océanique profond. Il se lève avec difficulté de sa chaise afin de me serrer la main, il tirait son t-shirt trop petit afin de dissimuler le bas de son ventre qui tente de s'échapper de son vêtement, sa main était moite, son visage bouffi était rouge et luisant de sueur. Il me dit "salut" et m'invite à m'asseoir à côté de lui. Inconsciemment je prends sa chaise de bureau, il m'annonce timidement: "Désolé je dois prendre cette chaise, je ne peux pas m'asseoir sur les autres je suis vraiment désolé", je lui réponds "pas grave t'inquiète pas pour ça je m'accomode facilement" avec un grand sourire pour adoucir le malaise de Hugo. En moi je me disais qu'il a dû encore prendre du poids, cela faisait depuis notre dernière épreuve du bac que je ne l'avais pas vu et on dirait qu'il s'était encore épaissi, peut être que je me suis trompé lorsque que je vous ai annoncé 186kg ! Nous entamons les révisions par des mathématiques, ma hantise. Hugo me propose alors des chips au poulet, je sais que ce sont ses favorites alors en signe d'amitié je lui laisse tout le paquet. De 14h à 16h30 nous avons bien travaillé, nous nous sommes autorisés une pause pour le goûter même si Hugo n'en avait franchement pas besoin avec tout ce qu'il avait mangé durant les révisions ! Barres chocolatées, chips, cacahuètes, sa maman lui a même apporté une dizaine de nuggets tout chaud à 15h car elle s'était arrêtée au fast food du coin avant de rentrer du travail exclusivement pour Hugo, j'étais abasourdi par ce geste, jamais mes parents n'ont fait ceci avec moi. Hugo décide d'aller aux toilettes durant la pause, il laisse son portable sur le bureau et je déguste ma banane tranquillement. Je vois son portable qui n'arrête pas de s'allumer, je me dis qu'il doit recevoir des notifications liés à ses jeux vidéos ou à ses amis d'internet. J'essaie de ne pas regarder mais ma curiosité l'emporte, je vois des messages le complimentant sur son corps. Je décide de déverrouiller son téléphone et d'accéder au message en question. Je vois qu'il parle avec un autre adolescent, il dit qu’il a un corps magnifique, je vous cite son message “j’adore ton gros ventre, tu as trop de chance d’être comme tu es, félicitation et continue de grossir !”. J’étais tout d’abord choqué par cette découverte puis après quelques instants de réflexion je voyais les choses plus clairement: depuis la seconde Hugo avait pris énormément de poids, environ 50kg, bouffait dès qu’il le pouvait et se refermer sur lui même de plus en plus. J’ai reposé son portable sur son bureau jonché de miettes de chips et de gâteaux, son côté à lui luisait de graisse des aliments qu’il avait mangé l’après-midi. Hugo revenait insouciant, prit son élan pour s’asseoir dans sa chaise taille XXL et était complètement essoufflé de son périple pour accéder aux toilettes. Nous reprenions les révisions jusqu’à 19h. Après ceci j’ai proposé à Hugo de l’emmener au fast food à l’autre bout de la ville, je savais qu’il adorait ce coin et était friand des burgers qu’il proposait, puis c’était le moindre des remerciements après l’après-midi de révision gratuite qu’il m’avait donné ! J’annonce à mes parents que je rentrerais un peu plus tard et que je mangeais à l’extérieur afin de les rassurer. Une idée me venait dans la tête sur le chemin du fast food, et si je testais Hugo, si je lui donnais à manger, que je le forçais à bouffer afin de voir si il y prend du plaisir ou non ? Bien sur je sais que manger lui procure un immense plaisir mais je veux voir de mes propres yeux ses limites. Nous sommes maintenant au fast food, je commande pour moi et je laisse Hugo faire sa très longue requête auprès de la caissière, qui est elle même impressionnée par le gabarit de Hugo, plus que par le mien ! Hugo avait commandé 3 burgers, plusieurs portions de frites, 2 glaces ainsi que 20 nuggets. Il mangea absolument tout en 20 minutes, je lui propose alors de refaire une commande si il avait encore faim, il me répondit timidement “oui si ca te dérange pas”. Je me suis alors empressé de refaire une commande, 4 double burgers pour Hugo, lorsque je lui est apporté le plateau j’ai vu dans ses yeux le désir de bouffer et en même temps une gêne vis à vis de son appétit d’ogre mais bon après tout c’était son mode de vie quotidien ! Il saisit le premier burger avec ses gros doigts boudinés et croqua à pleine dent ce dernier, le gras coulait sur ses grosses joues rouges jusqu’à son triple menton (oui un vrai triple menton !), je prenais un certains plaisir à le regarder manger, une tache de sauce dégoulina sur son t-shirt au niveau de sa poitrine. Instinctivement je pris une serviette et j’essuie cette tâche, c’est alors que j’ai senti ses “seins” moelleux et chauds sous la serviette. Hugo se metta à rougir et j’ai immédiatement retiré la serviette en lui disant “tu sais très bien que les taches de sauce ça se nettoient pas !” afin d’apaiser l’ambiance. Hugo avait fini son plateau, une nouvelle fois je lui demande si il veut encore quelque chose et il me répondit: “non je crois que j’ai plus faim ca ira”. Or je savais qu’il mentait c’est pour ça que je me suis levé afin de reprendre à manger pour moi, afin de l’inciter à en reprendre encore. En effet en voyant ma boite de 20 nuggets arriver sur la table il se leva tant bien que mal pour s’en acheter deux, en me disant: “j’en prends pour cette nuit en cas de petite faim”. Petite faim et Hugo, ça ne va pas ensemble ! Hugo revient à la table, essaie de s’asseoir sans tout faire bouger et ne résista pas à l’envie de dévorer ses nuggets. Il était maintenant 22h30, il ne restait plus que moi et Hugo dans le fast food ainsi que le personnel de l’établissement qui nous annonçait la fermeture. Hugo décide alors de faire une dernière commande pour sa petite faim nocturne, composée de frites, burgers et tacos, tout ce qui est bon pour lui. Toute cette nourriture dans l’estomac de Hugo le fit tituber jusqu’à ma voiture, il avait du mal à mouvoir son gros corps et à digérer en même temps, les 25 mètres qui séparaient la voiture de la table du fast food ont été très longue, Hugo ouvrit la porte de ma voiture, leva son énorme jambe pour la rentrer à l’intérieur avant de faire passer tout le reste. Son visage était rouge et luisant de sueur, son t-shirt de taille 3XL ne supportait plus son ventre et les coutures sur le côté se sont mis à craqueler, je les ai entendu. Il respirait très fortement, je sentais que toute cette nourriture ingérée était très lourde à supporter. Il avait son sac rempli de bouffe pour la nuit avec lui, il n’avait pas encore mis sa ceinture qu’il commençait déjà à entamer le tacos, je lui dit alors: -”Tu veux qu’on aille à l’autre fast food de la ville pour refaire une commande pour la nuit ?”, il me répondit la bouche pleine entre deux grandes inspirations: -“Oui j’en ai besoin, c’est vital, il faut que je t’explique.”, -“Ecoute Hugo je sais déjà tout, j’ai vu des choses sur ton portable cette après-midi et je sais que si tu as grossis autant depuis la seconde c’était volontaire, tu aimes ta graisse, tu aimes bouffer je vois donc pas pourquoi je, comment dire…” -”Me dire quoi Martin ?”, en attendant la fin de ma réponse en finissant son tacos. -”Que je veux te rendre encore plus gros jusqu’à ce que tu me dises stop, tu ne m’as encore pas dit stop ce soir alors je vais continuer à te faire manger mon Hugo.” -”C’est ce que j’attendais depuis tout ce temps Martin, je savais que toi seul pouvais me comprendre et m’aider pour me faire grossir.” -”Je suis heureux que tu te dévoiles à moi Hugo, je pense que maintenant tu n’as pas le choix, enlève ton t-shirt déchiré afin que je vois ton corps.” Il s’exécuta avec un grand sourire, retira son t-shirt et la j’ai enfin vu de mes propres yeux et en entier son corps: une poitrine énorme formait une bouée sous ses énormes bras rondelets, cette poitrine était gonflée, flasque, moelleuse avec deux gros tétons roses aux milieux de chaque “seins”, son ventre enfin relâché de la pression du t-shirt était d’une circonférence incroyable, des bourrelets sur les côtés formaient ses poignées d’amour, cette masse de graisse ne demandait qu'à se développer, dommage que je ne pouvais pas en voir plus sur le moment. Hugo était incroyablement large, ses bourrelets dépassaient légèrement du siège de ma voiture, c’était magnifique. Je lui ordonna de finir sa bouffe, il mangeait avec un immense plaisir et une satisfaction déconcertante. Je lui posa alors la question: -”Les 186kg dont tu m’avais parlé début juin tu n’y est plus maintenant ?” -”Euh en fait je t’ai menti, j’ai toujours atténué mon poids.” -”Donc en juin tu faisais combien alors mon Hugo ?” -”213kg, plus ou moins…” -”213kg mais c’est énorme ! Ca veut dire que tu pèses combien maintenant ?” -”218kg mais je stagne en ce moment” -”Avec moi tu ne vas plus stagner, je t’emmène à l’autre fast food, tu manges et demain je te fais bouffer comme jamais mon gros. T’aimes bien ce genre de surnom ?” -”J’adore, autant que la bouffe que j’ai mangé toute la soirée avec toi, mon chou ahah” Je voyais Hugo épanoui, heureux et torse nu surtout, quelle beauté tout ce gras. 23h, j’avais emmené Hugo à l’autre fast food, il a commandé dix cheeseburgers et cinquante nuggets pour la nuit, il tenta de remettre son t-shirt pour rentrer chez lui mais ses énormes rouleaux de graisses acheva ce dernier. Lorsque je le ramenai chez lui il était 23h10, je l’ai aidé à sortir de la voiture car la digestion de toute cette nourriture lui demandait une grosse quantité d’énergie, j’espérais juste ne pas tomber sur ses parents pour qu’ils ne se posent pas de question en voyant leurs fils avec un t-shirt déchiré. La montée des escaliers menant à sa chambre était rude, il ne pouvait plus lever ses jambes, ou plutôt ses amas de gras. Je l’ai mené jusque dans son lit avec toute sa bouffe, il haletait et transpirait comme si il avait fait l’effort de sa vie. Lorsqu’il s’allongea dans le lit ce dernier grinçait, le lit une place de Hugo n’était clairement pas suffisant pour le supporter, il allait bientôt casser sous son poids colossal. Lorsqu’il était allongé je me rendis compte de sa beauté, j’étais fier de mon ami qui s’était enfin ouvert à moi aujourd’hui. Je lui dit au revoir et à demain pour de nouvelles “révisions” bien sur ! Mardi 7 juillet 8h, le réveil sonne, je l’éteins, je me lève, la routine du matin s’enclenche. Petit déjeuner, passage à la salle de bain. Comme chaque matin j’enlevais mon haut devant le miroir. Je regardais mes muscles différemment à présent, j’enviais même les 218kg de Hugo presque. Je me dirige à la salle de sport, on s'entraîne avec mes deux autres potes et on se sent puissant, invincible avec notre musculature. Mais je sens que j’ai perdu goût à ceci avec Hugo depuis hier soir, le gras, l’obésité m’obsède, Hugo à la vie parfaite, il mange, il est heureux, il se sent mieux au fur et à mesure qu’il grossit sans faire d’effort physique alors que moi je m’entraine tous les jours comme un acharné, je me prive de toute bonne nourriture pour peser 83kg de muscle ? L’idée de revoir Hugo cette après-midi me motive, c’est la raison qui égaye ma journée, voir sa tête toute ronde trôner juste au dessus de son corps dénué de toute musculature m’excite. Mais qu’est-ce que je suis en train de penser ? Est-ce que j’éprouve des sentiments pour Hugo ? Quoi qu’il en soit aujourd’hui avant de rentrer chez moi je passe au supermarché. Je m’achète un pot de pâte à tartiner que je mange dans ma voiture en quelque minute. Je me sens lourd, ces calories sont durs à ingérer, je sens déjà mes muscles qui perdent de leurs puissances, qu’est-ce que je fais ? 14h, je me rends chez Hugo, dans mon sac j’ai pris quelque pâtisseries pour lui ainsi que des pots de pâtes à tartiner pour bien le faire grossir. Lorsque je ferma la porte de sa chambre il se leva et il me prit dans ses bras, j’essayais de faire de même avec lui mais son corps était beaucoup trop large pour que je puisse le serrer fort ! Ses parents n’étaient pas là aujourd’hui on avait donc la maison pour nous tous seul. Hugo s’installa dans son lit, enleva la chemise qu’il n’avait pas réussi à boutonner ainsi que son short d’une taille que je ne connaissais pas. J’ouvris le premier pot de pâte à tartiner et il ouvrit grand la bouche, j’avais un gros bébé pour moi tout seul ! Je me suis assis sur son ventre qui était beaucoup plus confortable que son autre chaise et lui donna la première cuillère d’une longue autre série. Hugo a ingéré pour 5kg de pâte à tartiner en 1h30, j’étais très fier de lui ! Il était cloué au lit, sa graisse l'empêchait de se mouvoir lorsqu’il mangeait en grande quantité. Néanmoins il essaya de se lever et me confia entre deux inspirations: -”Maintenant à toi de manger Martin hihi.” J’étais très surpris de son assurance, je n’avais jamais vu ceci chez lui c’était très surprenant, moi qui le connaissait depuis de l’école primaire je savais qu’il n’était jamais sûr de lui, toujours hésitant et fébrile. Il ouvrit son armoire et j’ai vu des éléments déconcertants au milieu de quelques vêtements trop petits pour lui comme un entonnoir, de l’huile d’olive, et bien sur de la nourriture en tout genre. Il racla une étagère avec son bras et pris tous les mets qu’il y avait dessus. Il prit l’entonnoir, le posa à côté du lit avec l’huile d’olive. Soudainement Hugo me plaqua au sol, cette masse brute m'empêchait de faire le moindre mouvement, il me prit et me posa sur son lit en s’asseyant sur moi afin que je ne puisse pas bouger. J’étais impuissant, Hugo était bien trop lourd et je n’avais pas envi de lui faire mal, c’était mon ami et j’avais confiance en lui mais à ce moment précis j’étais angoissé. Il m’enfonça l'entonnoir dans la bouche et la le début d’un long périple commença. Hugo versa l’huile dans l’entonnoir, elle atteignit ma bouche et traversa ma gorge jusqu’à mon estomac. Ce liquide était du gras à l’état pur, Hugo me faisait passer en quelque sorte mon baptême de futur obèse. Ceci dura une trentaine de minute, Hugo enleva l’entonnoir et tenta de s’extirper du lit pour que je puisse bouger. Je sentis toute cette huile dans mon corps, j’étais ballonné, faible et en même temps j’avais encore faim. Je dis à Hugo: -”Merci de m’avoir fait ceci Hugo, tu m’as ouvert les yeux sur ma véritable nature, je t’admire vraiment. Je veux te ressembler physiquement et mentalement.” -”J’attendais que tu me dises ça depuis longtemps, maintenant tu vas me faire le plaisir de manger tout ce qui se trouve dans mon armoire et la tu pourras me ressembler.” Le défi était dur, trois paquets de chips, huit tablettes de chocolats, deux kilos de pâte à tartiner, cinq paquets de biscuits et ce que Hugo préférait le plus, une bonne dizaine de sachets de bonbons. Au bout de 3h j’ai réussi à tout finir, Hugo était très fier de moi cependant je ne pouvais pas rentrer chez moi, il était maintenant 19h et je dis à mes parents que Hugo m’héberge pour la nuit afin que l’on puisse réviser efficacement. Hugo a eu la gentillesse de me prêter son lit pendant une petite heure pour que je me repose pendant que lui s’empiffrait devant sa télévision. Mes paupières étaient lourdes, la digestion difficile et je me suis endormi comme une masse vers 20h. Mercredi 8 juillet 7h du matin, je me réveille avec un mal de ventre inquiétant sans savoir où je me trouve réellement. Après avoir repris mes esprits je me suis souvenu que j’étais chez Hugo mais lui où était-il ? Je me leva précipitamment du lit et instinctivement je vais devant le miroir de Hugo, j’enlève mon t-shirt et je découvre avec stupeur que je ne vois plus mes abdos, le six packs que j’ai tellement travaillé pendant ces deux ans de musculation a disparu en une après-midi de gavage, ce n’est qu’une autre preuve que cela ne sert à rien de souffrir en faisant du sport et que ma raison de vivre maintenant est la bouffe. Mercredi 23 juillet Je ne vais plus à la salle de sport à présent, engraisser Hugo est devenu ma principale préoccupation, même ma raison de vivre. Il devenait de plus en plus gros chaque jour, il ne cessait de manger et avalait tout ce que je lui donnais. Il pesait maintenant 228kg, il a pris 10kg en deux semaines. Un matin il m’envoie un message comme quoi il n’arrive pas à se lever seul de son lit, inquiet de cette nouvelle il m’a dit qu'il voulait perdre du poids mais c'était hors de question et je l’ai même félicité du fait qu'il ne pouvait pas se lever même si au final au bout d’une dizaine de minutes il a réussi à marcher en se dandinant ses énormes fesses. Et moi que suis-je devenu ? Je pèse maintenant 90kg, j’essaie de suivre le rythme de Hugo même si mon estomac n’est pas aussi gros que le sien. Je ne vois plus ma musculature, une couche de graisse recouvre tout mon corps et je me trouve plus séduisant que jamais. Mes amis de musculation se moquent à présent de mes petits seins qui ont remplacé mes pectoraux d’autrefois et mon ventre grassouillet accompagné de mon petit bourrelet inférieur qui dissimulé mon six pack immonde et dur comme la pierre, je suis dans une phase de transition entre le monde de la musculation et le monde de l’obésité mais mes amis doivent comprendre que je tends vers l’obésité de jour en jour et que le sport c'est terminé pour moi, lorsque je regarde des anciennes photos de moi je me dégoûte moi même. Au contraire les railleries de mes amis me motivent encore plus à manger et à grossir, un jour je leur présenterai Hugo afin de leur faire voir ce qu’est la vrai beauté. Les parents de Hugo partent en vacances pendant 1 mois et vont laisser leur fils seul chez eux, enfin il ne sera pas seul puisque je serai là pour remplir sa bouche quotidiennement de beurre, crème fraîche, chocolat, tout ce qui est bon pour sa masse graisseuse, nous avons en plus un budget bouffe illimité, les parents de Hugo sont aisés et leur fils ne dois manquer de rien. Au programme de cette après midi Hugo doit manger suffisamment pour prendre 2kg et atteindre les 230kg, je n’aime pas ce chiffre il faut qu’il devienne plus élevé et rapidement. L’objectif est qu’au retour de ses parents Hugo doit peser 250kg et moi 100kg, deux beaux nombres en quelque sorte ! J’ai gavé Hugo toute l’après-midi au bord de sa piscine, allongé sur le sol puisque les transats ne supportent pas son poids, il en a d’ailleurs cassé un net, quel phénomène mon Hugo ! Il a mangé toute les glaces du congélateur ainsi que trois tablettes de beurre et une bouteille de deux litres d’huile d'olive, il en a aussi étalé sur tout son corps afin de me séduire une fois de plus. J’aime l’engraisser, je ne sais pas d’où vient ce désir mais c’est jouissif de le voir grossir de jour en jour, c’est un véritable spectacle de l’observer manger, ce que j’apprécie le plus c’est de le voir essayer de bouger, marcher, il a de plus en plus de mal à se mouvoir, il respire comme un boeuf pour se déplacer et le fait de marcher sur une dizaine de mètre lui fait couler des litres de sueurs, il m’a fait part de ses inquiétudes vis à vis de sa santé mais je le rassure sur le fait que je serai toujours avec lui quoiqu’il arrive et que le plus important c’est la santé mentale et non physique contrairement à ce que nous font croire les médecins. Après cette après-midi riche en nourriture grasse Hugo n’arrive plus à monter les escaliers menant à sa chambre, comment je peux l’aider ? Il est trop lourd pour que je puisse le monter, j’ai perdu en force musculaire. Il monta les escaliers en rampant, son ventre frottait contre les marches et le dernier maillot de bain de la garde robe de Hugo trépassa dans ce périple ce qui me laissait apercevoir pour la première fois son énorme fessier flasque, écrasé par son poids du fait qu’il reste trop allongé ou assis. Je n’ai pas pu résister à l’envi de toucher, c’était divinement doux et moelleux, un vrai don du ciel. Alors que je contemplais son fessier, Hugo poussa un cri de douleur pour monter les deux dernières marches, je voyais sa petite tête ronde, rouge et luisante de sueur devant son corps, il voulait abandonner mais je lui ai refusé ce droit. J’ai foncé vers la cuisine chercher dans le frigo une bouteille de soda et du poulet frit afin de lui donner les forces nécessaires à gravir les marches. J’ai réussi à monter sur Hugo qui prenait toute la largeur de ces étroits escaliers et but et mangea à une vitesse incroyable, j’ai pu ensuite le tirer en saisissant ces poignets aussi moelleux que des coussins et il parvenait enfin sur le parvis de sa porte de chambre. Il ne poussa pas la porte, il n’en avait pas la force nécessaire, mouvoir ses gros bras était très difficile pour lui, il s’asseya contre la porte et dorma un petit instant pour se reposer de l’effort considérable qu’il avait réalisé. Après une trentaine de minute il se réveilla et je l’aida à se lever pour qu’il puisse se diriger vers son lit. Je lui apporta la balance afin de voir les progrès qu’il avait fait durant tout l'après-midi avant qu’il ne s’allonge et le constat était saisissant: 232kg sur la balance qui commençait à craquer sous ses pieds dodus. Hugo avait un métabolisme fait pour grossir, prendre du poids, engranger de la masse grasse et nous devons profiter de cet atout pour qu’il progresse de plus en plus. Hugo eut une idée de génie, afin que je puisse grossir aussi vite que lui, il me disa: -Et si on faisait une transfusion sanguine ? me confia-t-il entre deux bouchées. -C’est à dire ? en étant intrigué. -Tu sais je prends du poids très facilement depuis toujours, j’ai un appétit monumental et je peux te passer de mon sang qui pourrait t’aider à devenir comme moi. J’étais saisi par l’intelligence de Hugo, je suis allé directement en pharmacie afin d’acheter une seringue et une poche de 1 litre pour faire cette transfusion sanguine. Une fois revenu chez Hugo nous procédons à l’opération. J’ai piqué directement Hugo dans le ventre, dans ses seins, dans ses fesses et dans ses cuisses afin que je récupère le maximum de son sang gras dans chacune des parties de son corps. Après la poche de 1l remplie Hugo dorma, retirer du sang à une personne est très épuisant. C’est alors que j’observai le sang dans la poche, il était rouge grenat. Je contempla ce liquide qui contenait le patrimoine génétique de mon ami qui allait me rendre aussi beau que lui. Je planta l’aiguille qui avait transpercé le gras de Hugo dans mon ventre, je sentais son sang venir en moi, j’étais de plus en plus engourdi et mes mouvements devenaient de moins en moins fluides. Au bout de trente minute il ne restait plus une goutte du précieux liquide dans la poche, je retira la seringue et je dormais allongé sur le sol pour ingérer ce patrimoine génétique. La nuit était longue, je sentais en moi mon sang originel se battre contre celui de Hugo, il résistait à l’envahisseur en quelque sorte mais ma volonté l’emporta, le sang de Hugo se mélangeait au mien et mon ancien patrimoine génétique n’était à présent pas en mesure de m’empêcher de grossir comme je le souhaitais. Jeudi 24 juillet Je me réveilla le matin sur le parquet chaud de la chambre de mon ami qui lui ronflait comme un cochon, j’essayais de bouger mais c’était compliqué, durant cette nuit une bataille s’était déroulée dans mon corps mais je sais que la victoire a été remporté par le bon camp. Mon regard se porta alors sur mon débardeur et mon short de bain avec lequel je m’étais endormi. Avec les kilos que j’ai pris dernièrement mes vêtements, qui mettaient en valeur ma musculature, étaient devenu relativement petits, j’étais boudinet dans ces bouts de tissus d’une taille que Hugo n’avait jamais porté et ne portera jamais. Mais ce matin je n’étais plus seulement boudinet à l’intérieur, non mais je voyais bel et bien mon ventre déborder de mon débardeur, ma poitrine s’était développé formant deux seins flasques durant la nuit si bien que mes tétons dépassent sur les côtés de mon vêtement. J’essayais de me lever comme je le faisais avant mais cette graisse m’entravait, je comprenais les difficultés que Hugo avait à se mouvoir mais qu’est-ce que c’est excitant de sentir toute sa graisse bouger à chaque mouvement. J’enleva mon débardeur, mon short de bain qui me lacèrent les cuisses ainsi que mon caleçon devenu bien trop petit pour accueillir tous les nouveaux kilos. La balance affichait 117kg, j’avais donc déjà largement atteint l’objectif que je m’étais fixé avec Hugo ! Je consulta au plus vite mon IMC, il affichait “obésité sévère”. 27kg en une nuit, c’était incroyable, je me sentais différent à présent, j’étais devenu gros enfin mais ce n’était que le début d’un long voyage. Cependant le métabolisme de Hugo m’a aussi apporté sa faim, j’avais mal au ventre, il grondait et réclamait de la nourriture comme jamais. J’ai pris des vêtements dans la penderie de Hugo, devenus beaucoup trop petits pour lui depuis longtemps et je descends dans la cuisine où je me suis servi dans le frigo, crème chantilly, charcuterie, lait, confiture, pain et de tas d’autres mets tous plus appétissant les uns que les autres sauf les quelques carottes qui étaient seules dans ce frigo, bannies de notre alimentation à présent. Même après ce festin mon estomac criait famine, je sais pourquoi Hugo était si gras si la faim le tiraille en permanence de cette manière il est obligé de manger tout le temps pour ne pas perdre la tête. Je m'attaque maintenant aux placards rempli de sucreries en tout genre, les paquets de bonbons et de gâteaux n’ont pas pu résister à ma bouche et à mon appétit d’ogre. Après ceci je remontais à la chambre pour voir Hugo. La montée des escaliers était dure, mes cuisses se frottent entre elles, je sentais le manque d’air dans mes poumons et j’étais obligé de me tenir à la rambarde, chose que je ne faisais jamais avant, pour pouvoir faire monter mes nouveaux kilos. Hugo ronflait toujours mais je l’ai réveillé pour annoncer la bonne nouvelle avec deux pots de pâte à tartiner dans les mains. Il en avait les larmes aux yeux. Cependant il se leva sans difficulté aujourd’hui, c’était étrange vu comme il souffrait hier pour faire le moindre mouvement. Je constatais que sa silhouette était plus “fine”. Il monta sur la balance et le constat était horrifiant: la transfusion lui a fait perdre 5kg, une catastrophe, il était repassé en dessous des 230kg. Il fallait qu’il reprenne ces kilos perdus dès aujourd’hui. Muni de nos téléphones chacun de nous avait une tâche bien précise: Hugo devait faire les courses qui nous seront livrées à domicile et moi je devais m’occuper de commander une multitude de plat au fast food le plus proche qui nous seront apportés dès que possible. Hugo fit une si grosse commande au supermarché du coin que les livreurs sont venus avec une camionnette remplie à ras bord, les livreurs ont déposé les sacs dans la cuisine qui ressemblait maintenant à la caverne d’Ali Baba. Quelques minutes après le départ des premiers livreurs c’était au tour du fast food de nous apporter notre commande, des sacs en cartons sont arrivés par vingtaine et l’odeur de friture embauma toute la cuisine ce qui fit saliver Hugo, et moi aussi au passage vu que j’ai récupéré son métabolisme de gros porc. Allongé dans les canapés de Hugo nous mangeons de 10h du matin jusqu’à 16h en continu, les calories et le gras s’infusent dans nos estomacs et allaient bientôt se transformer en graisse. Après une bref pause nous reprenons les festivités et nous en avons terminé de manger toute la commande du fast food à 17h30, après avoir mangé de la nourriture salée toute la journée nous devons terminer par des mets sucrées en guise de dessert. De vraies pâtisseries nous avaient été livrées ce matin, huit gateaux fait pour 12 personnes nous attendaient dans le frigo. Gâteaux remplis de crème, de chocolat, de sucre et d’autres ingrédients tout aussi délicieux ne nous résistaient pas. Il était maintenant temps de passer à la pesée, nous avons décidé moi et Hugo de résider à présent au rez-de-chaussé, monter les escaliers étaient devenu impossible pour lui et bientôt pour moi. Je reviens dans le salon avec la balance sous le bras pour mesurer notre évolution. Hugo faisait 235kg et moi 123kg à présent. Cependant Hugo me faisait remarquer que mes cheveux changeaient de couleurs, ils étaient maintenant de la même couleurs que les siens ainsi que mes yeux. La transfusion sanguine y était pour quelque chose. Je ne me transforme pas en obèse mais en Hugo, il me disait que la forme de mon corps actuel était similaire à la sienne lorsqu’il faisait le même poids. Une autre différence nous séparait aussi autrefois, j’ai toujours été plus grand que lui et je m’aperçois que je devenais plus petit lorsque je me suis mis à côté de lui, avant il m’arrivait un peu plus haut que mon épaule et maintenant il arrivait à mon nez. C’était à la fois effrayant et satisfaisant mais il me rassura en me disant que même si je lui ressemblais ma personnalité elle ne changerait pas et que nous serons toujours ami. Autre nouvelle inquiétante, ma mère m’envoi un message afin d’avoir des nouvelles et si tout se passait bien chez Hugo. Je devais rentrer ce soir même mais je ne pouvais pas rentrer dans cet état avec mes 30kg de graisse en plus. C’est alors que j’ai prétexté que nous avions rejoint les parents de Hugo en vacance, j’espère que ceci les repoussera un petit moment. Après ces bouleversements Hugo m’alertai d’une nouvelle plus que réjouissante, il me fit lire un article sur son téléphone où il était expliqué que la nourriture d’une chaîne de fast-food bien précise faisait grossir sur la durée, que les personnes après avoir consommé prennent du poids même après avoir digéré et éliminé complètement cette nourriture. De plus il a été prouvé que lorsque l’on mangeait de cette nourriture notre poids augmentait de façon exponentielle, par exemple en doublant les quantités mangées notre poids ne doublait pas mais quintuplait. Hugo mangeait quotidiennement dans ce fast-food ce qui pouvait expliquer son poids très élevé, ceci couplé à son métabolisme faisait que le corps de Hugo était une vrai usine à fabriquer du gras. Il était d’accord avec moi pour qu’on ne mange plus que cette nourriture dès à présent. Durant la nuit nous avons mangé des quantités phénoménales de mets issus de ce fast-food, nos estomacs étaient au bord de la rupture mais il fallait maintenir la cadence. Nous avons fini par nous endormir la tête dans nos burgers, pendant notre sommeil la bouffe ingurgité allait agir sur nos corps. Vendredi 8 août Les parents de Hugo ont décidé de prolonger leur séjour jusqu’à la fin du mois d'août, ce qui était une excellente nouvelle pour moi et mon ami, devenu petit ami à présent ! Le gras a apporté l’amour entre nous deux, la nourriture et la prise de poids nous ont lié et de véritables sentiments ont émergé entre nous deux. Je ressemblais maintenant beaucoup à Hugo, on fait la même taille, j’ai la même couleur de cheveux et des yeux que lui mais mon visage a conservé ses traits originels, bien sur avec des grosses joues et un double menton à présent. Le régime fast-food fonctionne à merveille: je fais maintenant 185kg et Hugo a atteint les 300kg ce matin, je me sens bien et gras, Hugo se lève une fois par jour pour aller faire ses besoins mais je crois que bientôt il ne pourra plus faire le moindre mouvement. Le maximum de la balance a été atteint ce matin, à partir de maintenant je ne sais pas comment je pourrais suivre son poids à part à l’oeil. Hugo ne passe plus dans la douche de sa maison, cela fait une semaine qu’il ne s’est pas lavé et il refuse que je lui passe un gant humide sous ses bourrelets massifs. J’ai l’impression qu’il sent l’odeur de la malbouffe que nous ingurgitons à longueur de journée, son ventre est devenu si énorme qu’il a dû quitter le canapé, qui n’était pas assez large pour l’accueillir. J’ai pris le matelas de ses parents que j’ai mis par terre comme ça Hugo a tout le confort nécessaire à sa prise de poids. La chaleur de l’été frappait dans la maison, Hugo était véritablement en sueur toute la journée et respirait mal, il m’avait confié que ses seins lui comprimaient la poitrine. En effet avec la balance nous avons pesé chacun de ses seins, il était facile d’en peser un à la fois sur la balance vu leurs tailles. Le sein droit faisait 41kg et le sein gauche 41.5kg, pas étonnant que cette masse flasque gène sa respiration. Quant à moi mes muscles ont entièrement disparu, lorsque je suis allé retiré la commande au fast-food mes amis de musculations m’ont reconnus, ils étaient stupéfaits de me voir ainsi changé. Ils m’ont raillé en public, m’ont taté mes nouvelles formes en me complimentant sur le fait que j’avais désormais une plus grosse poitrine que leurs copines ! Je ne sais pas pourquoi mais cette petite humiliation en publique m’a carrément excité, voir mes anciens amis qui sont eux restés maigres et fermés d’esprit m’a réconforté dans mon orientation. Toute la journée nous mangions avec Hugo, cette nourriture avait un fort pouvoir addictif et ne nous remplissait pas l’estomac ce qui nous poussait encore plus à la consommation. Ce jour la moi et Hugo avons fait notre premier vrai câlin entre deux boîtes de poulets frits, nous nous aimons très fort et nous resterons inséparable quoi qu’il arrive je le sais. Dimanche 10 août Ca y est les 200kg sont là ! Bientôt je ne pourrais plus bouger comme Hugo, je ne sais pas combien il pèse mais il a sacrément grossis. Il ne bouge plus du tout, il mange et fait ses besoins avec mon aide à présent, il ne passe plus les portes de toute façon. Même dans mes rèves je ne pouvais pas imaginer qu’un ventre aussi gros puisse exister, il était très moelleux, chaud et humide. Hugo ne faisait plus le moindre effort vestimentaire, lorsque je dis ça c’est qu’il ne met plus un drap pour cacher ses parties génitales car elles ont disparu sous ventre et entre ses cuisses formant elle même différent bourrelets, plis de graisses. Il n’arrive plus non plus à se mettre sur le ventre pour que je puisse faire sa toilette, il a enfin accepté que je le nettoie. Dessous lui j’ai retrouvé des miettes de bouffe et des frites écrasées. On peut le dire: moi et Hugo vivions comme des gros porcs, nous mangeons, transpirons à cause de la chaleur torride du mois d’août, le salon de Hugo était jonché d’emballage de fast-food en tout genre avec des papiers de hamburgers, des boîtes de nuggets, des pots de glaces et d’autres choses grasses que nous ne pouvions identifier. Mais tout cela m’excitait réellement, je me sentais dans mon élément et m’occuper de Hugo était un véritable passe temps. Mon corps prenait de très belles formes, Hugo adorait mes cuisses XXL, ma poitrine pendante et mon ventre extrêmement moelleux. Et moi aussi j’adorais la façon dont mon corps se transformait. Quand je marche mes cuisses frottent, mon ventre se balade, mes seins sautillent et bouger mes jambes pour mouvoir mon corps était devenu un sport beaucoup trop épuisant pour moi, mes muscles ont définitivement péris dans mon gras. Je savais que bientôt je rejoindrai Hugo dans son obésité des plus extrêmes, la plus poussée qu’elle soit et lui adorait ça. Lorsque Hugo ne mange pas il joue avec son corps, son ventre, ses seins, ses bras, ses cuisses, tout est devenu meilleur pour lui et je l’enviais. Cependant je sais que l’immobilité arrive très rapidement, le fait que mon corps prends du poids de façon exponentielle le fatigue et dans les 40kg qui suivent je sais que me lever va devenir très difficile et que je ne pourrais plus m’occuper de mon ami. Il nous faut trouver une solution, les 40kg supplémentaires vont arriver dans quelques jours seulement, je dois faire vite. Mardi 12 août 245kg au “levé” ce matin, après une nuit de gavage intense ma panse me fait souffrir énormément mais les résultats sont là, les kilos s’amassent et moi je trépasse sous mon gras ! Mes jambes ont refusé de bouger ce matin pour la première fois de ma vie, elles étaient engourdies et enflées formant deux gros boudins mous et sans énergies. Cependant la solution arrivera cette après-midi. Hugo a quelques amis dans le milieu du “gaining” qui vont venir nous nourrir, l’un d’eux s’appelle Maxence et l’autre Alexandre. Ils habitent à quelques kilomètres de la maison de Hugo et ont sauté sur l’occasion pour venir s’occuper de deux gros tas comme nous. Je n’ai plus la force de me lever et de marcher, moi et Hugo avons très faim et on dévore absolument toute nourriture qui passe à côté de nous. Cependant nous n’avons plus de nourriture du fast-food, je ne pouvais plus rentrer dans ma voiture et surtout je ne pouvais plus marcher sauf en cas d’absolue nécessité comme aller faire mes besoins ou au moins ouvrir au livreur. Moi et Hugo on passa notre dernière commande au fast-food que je devais aller chercher devant notre porte, l’avant dernière fois que je me lève de ma vie probablement et je laisserai ensuite la porte ouverte pour accueillir nos deux nouveaux engraisseurs. La sonnerie du livreur retentit, je prends mon élan, une grande inspiration et je lance mes dernières forces pour aller récupérer tous nos sacs de bouffe. Tout mon corps me supplie d’arrêter, me tire, me fait souffrir dans les moindres extrémités, les dix mètres qui séparaient le canapé de la porte d’entrée était un vrai parcours du combattant. Mes poumons manquaient d’oxygène, mon coeur battait à vive allure, je trainais mes pieds au sol car il m’était devenu impossible de les lever. Je me tenais au mur pour avancer un peu plus vite car la faim me tiraillait, mon ventre réclamait sa dose de gras et me le faisait payer. Une fois la commande prise je m’allongea par terre et je mangea en fermant les yeux le contenu des deux sacs les plus proches de moi. Il fallait que je prenne des forces pour ensuite nourrir Hugo qui hurlait de faim. Cette nourriture était divine, chaque bouchée nous faisait voyager et nous donnait envi d’en reprendre une. C’était une addiction, même en essayant d’autres fast-food il n’y avait pas ces sensations, c’était vide d’émotion. Je me trainais au sol et la j’ai vécu une situation que j’avais déjà vu: mon caleçon explosa sous la pression de mon fessier qui a trop grossis durant la nuit, je me souviens de Hugo dans les escaliers il y a seulement quelques semaines, j’étais maigre et je ne pouvais pas imaginer être aussi gras un jour en si peu de temps. Je sentais les kilos de gras se développer, la nourriture que je venais de manger ce serait déjà digérer et transformer en graisse ? Non impossible, c’était il y a seulement quelques minutes, il faut au moins quelques heures pour que le processus se mettent en route. Ou ce serait peut être la fatigue de mon effort physique ? Non je me sentais plus lourd qu’il y a quelques minutes, lorsque l’on grossis on ressent vraiment chaque kilos en plus que l’on a gagné, c’est une sensation unique et terriblement addictive. Lorsque j’évalue mon corps actuellement je dirais que j’ai gagné 5kg au vu de mon expérience de gros, 5kg de pur graisse en cinq minutes, c’était exquis et terrifiant à la fois. J'avançais en rampant, je plaçais mes bras l’un devant l’autre pour avancer en poussant la précieuse nourriture vers Hugo qui en réclamait toujours plus. Je ne voyais pas sa tête de la où j’étais mais seulement ses pieds, son ventre qui formait une montagne de lard et sa poitrine qui maintenant reliait ses deux seins. Hugo m’a dit qu’il avait dépassé les 375kg, il en était sur. Lorsque je suis arrivé auprès de lui je lui donna sa part de fast-food qu’il ingéra comme un glouton sans mâcher pratiquement, il engloutissait la nourriture. J’observai son corps lorsqu’il mangea, il s’arrêta momentanément et tourna sa petite tête pour me regarder avec un air réjoui. Je pouvais voir sa poitrine et son bide gonflés à vue d’oeil, son corps était si large que ses bras étaient devenus trop petits pour le longer, ce phénomène était d’autant plus visible maintenant. Mais cela confirmait bien une chose: nos corps était devenu dépendant à cette malbouffe et la moindre quantité ingérée de cette dernière nous faisait grossir instantanément. Quelle est la prochaine étape ? Après cette avoir mangé comme des porcs nous avons pris encore du poids c’était certains. Je le voyais nettement que mes bourrelets étaient devenus bien plus proéminents, ma respiration plus forte, il fallait que j’alimente en oxygène tout mon corps et ceci n’était pas simple comme on pourrait le croire. Vivre dans la peau d’un gros ce n’est pas quelque chose que l’on peut imaginer, il faut le vivre pour se faire une idée. Tout ce poids accumulé en un mois m’avait complètement changé, j’ai développé une addiction à la nourriture, mon ventre gronde en permanence, j’ai faim, je n’ai pas envi de bouger et je sais tout ceci va s’amplifier avec les nouveaux kilos qui arrivent. Mais c’était terriblement excitant, il faut que je le dise mais je n’ai plus vu mon pénis depuis très longtemps, il est confiné entre trois parties de mon corps: mes deux cuisses et mon ventre. Une boule de graisse s’est formée précisément à l’endroit où il est censé se trouver, c’est très étrange je ne pensais pas que l’on pouvait grossir ici aussi. Maxence et Alexandre sont arrivé dans l’après-midi pour s’occuper de nous deux et il était temps, je ne pouvais plus bouger et donc j’étais incapable de donner à manger à Hugo. J’étais allongé sur le sol, je sentais encore le gras s’accumuler grâce au fast food, c’était jouissif. Mon ventre avait pris des proportions inimaginables, je ne pensais pas que l’on pouvait devenir aussi gros mais je voyais que l’on pouvait encore plus s'enfoncer dans l’obésité quand je voyais Hugo, je ne le rattraperai jamais en terme de poids je crois ! Maxence et Alexandre était deux jeunes “feeders”, leur passion a eux était de nourrir des personnes afin de les faire grossir mais dans notre cas c’était plus délicat, il fallait qu’ils prennent soins de deux gros porcs. Ils me rappelaient moi il y a un mois de cela environ: musclés, débordants d’énergies, fiers de leurs corps. Ils étaient très heureux de nous rencontrer, et de pouvoir profiter de deux personnes aussi grasses que nous. Je sais qu’avec eux nous pourrons encore évoluer, nous leurs avons expliqué ce que nous devons manger et se sont précipité directement au fast food pour nous préparer une commande géante pour inaugurer cette rencontre. Maxence et Alexandre sont revenus une demie heure plus tard, la voiture rempli de malbouffe en tout genre qu’ils se sont empressés de nous apporter, moi et Hugo nous avions extrêmement faim et penser au fait que l’on allait se faire nourrir par ces deux personnes était terriblement excitant. Maxence et Alexandre se sont déshabillés, ont prit un peu de bouffe, se sont allongés sur nous et ont commencé à nous nourrir. Moi j’ai eu Alexandre sur moi et Hugo eu Maxence, j’ai ressenti des sensations extrêmes, muscle contre gras, la musculature d’Alexandre s'enfonçait dans mon ventre moelleux, je ne pouvais pas parler car l’afflux de nourriture dans ma bouche était continu. Alexandre mettait de la bouffe de partout sur moi, après une heure de gavage intense il eut l’idée de me recouvrir de pâte à tartiner sur tout mon corps ainsi que sur celui de Hugo. Ils ont eu besoin en tout de cinq pots pour recouvrir toute notre surface corporelle, ils se mirent à nous lécher chaque parcelle de graisse. Moi et Hugo étions terriblement sous tension. Je vous confie que nous nous étions plus masturbé depuis environ une semaine car nous ne pouvions plus accéder à nos pénis enfoui sous nos kilos de graisse respectifs. Mais Maxence et Alexandre ont eux réussi à pouvoir nous soulager et cela nous faisait énormément de bien à moi et à Hugo. Vendredi 15 août Les parents de Hugo reviennent dans une semaine, nous ne savons pas comment ils vont réagir en nous voyant dans cet état. La maison était propre contrairement à nous ! Même si Maxence et Alexandre faisaient notre toilette au gant deux fois par jours nos corps étaient tout le temps moite, sentait la transpiration. L’effet rafraîchissant de la toilette s'estompe dix minutes après la fin de celle ci. Je ne sais pas combien je pèse mais je dois être aux alentours des 375kg et Hugo des 450kg. C’était énorme, peut être trop je m’en rends compte maintenant mais il est trop tard pour pouvoir faire quelque chose, nos deux nouveaux amis étaient très motivés et l’idée de maigrir était inconcevable pour ces deux là. Il fallait espérer que les parents de Hugo reviennent plus tôt que prévu pour nous épargner, je ne sais pas comment ils allaient réagir en nous voyant aussi gros mais je sais qu’ils pourront nous aider. A la vitesse où nous prenons du poids je serai au stade des 500kg la semaine prochaine et Hugo aux alentours des 550kg, c’était beaucoup trop. L’idée d’être gros nous a obsédé moi et Hugo durant tout l’été mais je crois que cela est allé trop loin. La nuit nous nous sommes réveillé et nous avons discuté ensemble d’un moyen pour maigrir, nous voulons rester obèses mais pas à ce point. Nous ne savons pas quoi faire, sachant que l’on ne peut pas bouger le sport est inenvisageable, manger moins jusqu’à la semaine prochaine était impossible puisque le seul moment de répis que nous avions était la nuit lorsque nos deux malfaiteurs dormaient à l’étage. Les parents de Hugo allaient trouver la solution, ma mère nutritionniste a peut être des médicaments, des régimes spéciaux pour les personnes dans notre situation. Nos corps étaient devenus en quelques sortes des prisons de graisses qui nous clouait au sol. Cela faisait trois jours que j’étais immobile mais pour Hugo cela faisait cinq jours, cependant nous ne pouvons pas nous ennuyer durant la journée puisque Maxence et Alexandre nous faisaient toujours manger plus. La sensation de grossir continuellement était toujours jouissives mais nous étions effrayés à l’idée de peut être mourir. Chaque kilos supplémentaires étaient dangereux pour la santé, on l’ignorait au début mais maintenant on le ressent de plus en plus. Hugo s'étouffait plusieurs fois par jour comme si il était noyé dans sa propre graisse, peut être qu’il pouvait réellement y passer avant la semaine prochaine. Pour nos deux bourreaux on était très sexy, on ne pouvait pas leur résister et nous étions soumis à eux. On ne bougeait plus, on sentait que l’on prenait du poids toute les minutes et nous étions fatigué de cette histoire, je ne pensais pas que cela prendrait de telles proportions et je m’en veux d’avoir pris autant de poids, je regrette presque le temps où j’étais musclé et surtout je serai détruit si il arrivait quelque chose à Hugo à cause de moi, je ne me le pardonnerai jamais. Vendredi 22 août Il était 8h10, les parents de Hugo rentreraient sans plus tarder enfin nous l’espérons. Nos métabolismes sont gorgés de malbouffe et de graisse saturées, moi et Hugo étions de véritable éponge de graisse et comme des éponges, lorsque nous sommes pleins on ne peut plus tout ingérer. J’étais devenu un tas de graisse difforme, j’avais une cuisse bien plus grosse qu’une autre, des tétons disproportionnés, des seins qui pendaient jusqu’à la moitié du niveau de mon ventre et ce ventre était devenu une masse de graisse si volumineuse que je ne pouvais plus m’asseoir, enfin je le pouvais mais mon bide m'empêchait de pouvoir respirer une fois assis comme si il m’obstruait mes poumons. Hugo quant à lui était devenu bien trop gros pour pouvoir faire le moindre mouvement, il empiétait sur mon espace à moi tant il avait grossis ces derniers jours. Alexandre et Maxence avait en quelque sorte rempli leur travail, nous étions devenu énormes et ils profitaient autant que nous de nos derniers kilos gagnés. Cependant ils ne nous avaient pas prévenus que nous étions sur le point de partir avec eux, un camion était devant la maison et nous attendait. C’est à ce moment que j’ai compris que je ne pourrais jamais faire machine arrière, ils nous enlevaient car ils savaient que les parents de Hugo allaient rentrer aujourd’hui même. Nous sommes destinés à partir d’ici, à tout quitter pour vivre avec eux et devenir certainement les hommes les plus obèses du monde, ceux que les gens peuvent parfois admirer de par leur gabarit impressionnant. Ils nous chargeaient dans le camion comme des marchandises, nous étions transportés sur des chariots roulants très large pour que nous puissions rentrer dedans, une fois que nous étions passé dans le camion Alexandre et Maxence nous ont branché sur une machine qui permettait de nous alimenter continuellement en gras, il faisait noir et je ne pouvais pas voir Hugo qui était derrière moi mais je ne savais pas que c’était la dernière fois que je le verrais. Un jour inconnu Je me réveilla dans un lit d’une taille immense, dans une chambre spacieuse et immaculée de blanc, j’étais nu, les poignets attachés par des sangles ainsi que mes chevilles. J’étais seul dans cette pièce, je ne savais pas quelle heure il était même quel jour. Mes derniers souvenirs étaient la porte du camion qui se referma pour laisser place à un noir total avec Hugo derrière moi. Où était-il ? Qu’est-ce que Maxence et Alexandre nous veulent, pourquoi ont-ils fait ceci ? J'essayais de bouger mais impossible, les sangles me retenaient et mon corps ne m’obéissait plus. Un homme entra dans la pièce, je l’ai reconnu à sa voix, c’était Alexandre, il s’asseya à côté de moi dans le lit et je sentis sa main se glisser sur mon corps. C’est alors que je pris conscience d’une chose: j’avais un tuyau sur mon ventre mais je ne le voyais pas, je ne pouvais pas parler car j’avais un entonnoir dans ma bouche, je sentais un étrange liquide épais, très sucré, gras dans ma gorge c’est alors que je pris conscience des proportions de mon corps, c’était inhumain d’être aussi gros. Alexandre me prit en photo et me montra à quoi je ressemblais, j’étais devenu ce que je désirais depuis des semaines, je sentais ma queue se dresser dans cet amas de graisse qu’était devenu mon corps, dans toute cette surface corporelle c’était la seule partie qui était encore capable de bouger. Alexandre écarta mes jambes, je l’ai vu disparaître sous mon ventre et décida de me masturber, c’était exquis, je pouvais sentir ma queue être dorlotée par lui et j’étais forcé de manger. Après cette effort intense il se décida à parler de Hugo. Il me montra une photo de lui, il était devenu musclé, athlétique, beau comme un dieu et m’expliqua qu’il avait transféré tout son gras à moi. En arrivant ici ils s’étaient aperçus que j’avais maigris, ma machine à été mal branché pendant le voyage et j’avais perdu énormément de poids. Hugo décida de sacrifier sa graisse pour moi, je pesais à présent 736kg et j’étais bien, je ne lui en voulais pas au contraire. Les rôles se sont inversés pendant cette histoire mais je ne veux qu’une chose: qu’il se mette à côté de moi pour toujours. Il rentra alors dans la chambre enleva ses habits, s’allongea et me calina comme si j’étais sa grosse peluche, comme un enfant qui a besoin de moi pour dormir. Il enleva les sangles à mes poignets, à mes chevilles, retira l’entonnoir de ma bouche et me fit le plus beau des cadeaux: un merveilleux baiser. FIN | |
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